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Méta
ANNE DE GUIGNE
Née dans une « famille profondément chrétienne », au château de la Cour à Annecy-le-Vieux12 la mort de son père, tombé au front à la tête de ses chasseurs-alpins en 1915, fut, à quatre ans, le principe déclencheur de sa « conversion ». Elle était une enfant, d’intelligence vive, de volonté ardente, facilement violente et jalouse, difficilement soumise et plutôt dominatrice. Âgée de 4 ans, elle entame alors une transformation profonde, son amour pour sa mère devient « son chemin vers Dieu » et elle acquit rapidement une douceur et une abnégation peu ordinaires, maîtrisant désormais son comportement.
Elle fit sa Première Communion à 6 ans. Mais son jeune âge exigeait une dispense. L’évêque lui imposa donc un « examen » qu’elle franchira avec une facilité déconcertante. « Je souhaite que nous soyons toujours au niveau d’instruction religieuse de cet enfant-là » dira l’examinateur.
Extérieurement, ce fut la plus simple et la plus aimable des enfants : effacée et modeste, toute à ses petits devoirs et à ses jeux. D’après son institutrice, Melle Basset, elle voulait sans cesse s’améliorer : « Rien d’extraordinaire dans sa vie, si ce n’est sa persévérance à devenir bonne. Le secret de sa montée spirituelle : prière et volonté ». Selon d’autres témoins, son humilité, sa douceur, son obéissance, son amour du sacrifice, sa permanente charité étonnèrent ses contemporains. Sa manière de communier remuait les cœurs et plusieurs fois on la vit comme transfigurée. Ses pensées révélaient aussi sa sainteté. Sa pureté était rayonnante et sa bonté sans limites. Elle disait vouloir devenir carmélite.
Elle mourut d’une méningite, à l’aube du 14 janvier 1922 après ce dernier échange avec la religieuse qui la veille : « Ma sœur, puis-je aller avec les anges ? » « Oui, ma belle petite fille » « Merci, ma sœur, ô merci ! »
(Source Wikipedia)
Une admirable fillette dont l’histoire m’a beaucoup impressionnée dans mon enfance
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BELLES FETES A TOUS
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Nos chers disparus
VULCANE, la douce, l’aimante, la bonté faite chien. Notre magnifique bouvier bernois nous a quittés à l’âge de 13 ans…
BUBULLE , joli cochon d’Inde, compagnon de ma petite fille Amalia, un amour lui aussi
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le gamin de Paris
On connait tous la chanson du même titre immortalisée par Patachou, Mick Michel ou encore Yves Montand, mais peut-être moins le film tiré du récit de Léo-Charles Burkhard, « Je n’étais qu’un gamin de Paris au temps du roi Soleil », avec pour interprètes principaux, Mel Ferrer et Marc Michel.
Ce gamin n’est autre que le frère Burkhard qui s’est mis en scène lui-même dans cette fiction, pour rendre hommage au Fondateur des Ecoles Chrétiennes, et patron de tous les éducateurs chrétiens, Jean Baptiste de la Salle, sur les traces duquel s’attache le héros.
Une reconstitution historique, qui nous promène à PAris comme chez les Camisards, en passant par Parménie , colline située a-dessus de Beaucroissant, en Isère. C’est à Parménie que le Saint rencontra Louise Hours, simple bergère, qui s’était attelée à la restauration d’une antique chapelle. Il l’exhorta à poursuivre son oeuvre.
Ordonné prêtre à 27 ans, Jean-Baprtiste de la Salle s’engagea avec d’autres maîtres à éduquer et instruire les enfants des familles pauvres. Il fit l’objet de critiques et se heurta notamment à l’incompréhension des autorités religieuses.
C’est en 1957, que le frère léo Burkhard, d’origine américaine venu faire ses études à Grenoble, arriva à Parménie, site entièrement dévasté. Il entreprit la reconstruction de ce haut-lieu où souffle l’esprit, avec l’aide de bénévoles des villages voisins.
Grâce à lui et aux bonnes volontés qui l’épaulèrent, Parménie renaquit de ses cendres, et retrouva sa vocation. La « colline inspirée » accueille aujourd’hui les frères chrétiens du monde entier.
Et pour mémoire, retraçons le portrait du « gamin de Paris » dans la peau duquel s’est glissé Le frère Léo: « 1672! J’avais dix ans. Je n’étais qu’un gamin de Paris, déguenillé comme tant d’autres, et à l’école préférant les rues. Après trois ou quatre ans, je fus capable, sans y comprendre un mot, d’épeler du latin aussi vite et aussi fort que n’importe quel gamin de mon âge; et je pouvais griffonner, d’une manière fantaisite, certes, mais lisible, mon nom, Jacques Delanot… »
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merci à tous les amis qui ont pensé à mon anniversaire
merci à Nicky
merci à Annick
merci à Jean-Daniel
merci à Pascalou
merci à Nicole
merci à Ludo
merci à Catherine
merci à Pierre
merci à Nana
merci à Anne-Marie
merci à Dany
Et merci à Myoso qui m’a consacré un billet pour mon anniversaire
et à tous ceux qui m’ont adressé des messages très sympathiques
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